Vos questions : Brins d'éternité
Vous avez des questions à me poser sur Brins d'éternité, sur la publication elle-même autant que sur notre façon de travailler? Vous voulez discuter de la revue, mais, oh, méchant Guillaume n'a pas posté de billet à ce sujet depuis quelque temps...?
Eh bien voilà, ne pleurez plus, éloignez ce revolver chargé de votre tempe et défoulez-vous: ce billet est là pour vous.
Alors nous avons déjà la question très pertinente de S@hée, posée et répondue sur ce billet.
RépondreEffacerVous remarquerez aussi que j'ai ajouté récemment, sur la colonne de droite, un petit présentoir virtuel pour le dernier numéro de Brins d'éternité. Arwoar.
Le magazine a un délai de réponse de combien de temps?
RépondreEffacerLes éditeurs mettent habituellement entre trois et six mois... et vous?
Jane Doe
Vous recevez combien de soumission de nouvelles par numéro et en publiez combien?
RépondreEffacerQue de questions ;)
RépondreEffacerD'abord, on envoie un accusé de réception, habituellement la journée même, sinon le lendemain. Si vous n'avez pas reçu d'accusé après trois jours, c'est fort probablement que le courriel ne s'est pas rendu.
Ensuite, pour notre délai de réponse, ça varie, mais je dirais qu'en moyenne, c'est de un à deux mois, parfois plus, quelques fois moins. Par exemple, en automne passé, nous avons été un peu débordé, et le délai est passé à quatre mois pour certaines nouvelles. Disons que si après trois mois, si vous n'avez toujours pas reçu de réponse, vous pouvez nous harceler gentiment ;)
Nous publions en moyenne quatre nouvelles par numéro (parfois trois, parfois cinq). Habituellement, une (et une seule) de ces nouvelles est signée par un auteur européen.
Quant au volume de nouvelles qui nous sont soumises, c'est aussi variable. Je n'ai jamais vraiment compté, mais je dirais que ça joue entre huit et dix nouvelles. C'est peut-être un peu plus ou peu moins, ce n'est qu'une estimation.
Que de réponses! Merci ! :-)
RépondreEffacer"la question posée et répondue"... Ah, Guillaume, tu fais vibrer d'horreur mes fragiles cordes de correctrice ! Vas-y, achève-moi !
RépondreEffacerOuais, je sais, j'ai fait fort :)
RépondreEffacerJe suis content d'avoir eu l'idée de ce billet, ça me donne des pistes pour une éventuelle FAQ sur le site de Brins...
Chacun ses talents :-p
RépondreEffacerPuisque je n'ai pas eu de réponse par courriel, ce qui, je comprends absolument, n'a plus de fin si nous ne mettons pas un frein nous-même (j'ai déjà vécu une telle situation dans une vie parallèle, mais ça, c'est une autre histoire...). Mes 2 questions pour Brins d'éternité sont; qui compose le comité de lecture? le directeur littéraire seul ou une équipe autour de lui? Brins d'éternité guide-t-il, surtout au niveau des corrections de l'histoire elle-même, les nouveaux auteurs pour l'amélioration d'un texte qui pourrait, par la suite, être publié?
RépondreEffacerEn attendant que mes angoisses soient diminuées, je range mes lames de rasoirs dans un endroit dont j'espère que ma mémoire va oubliée!!!
Bonjour Benoit,
RépondreEffacerTout d'abord, désolé pour le courriel, il m'était passé sous le nez :S
Pour ce qui est du comité de lecture, pour l'instant, je suis le seul à assumer la tâche (tout un *comité*, je sais). Je crois que nous ne recevons pas suffisamment de nouvelles pour que ça vaille la peine de former un comité. Cependant, les tâches dans l'équipe sont tout de même réparties:
- Carmélie Jacob, en plus de s'occuper de la correction, assure la coordination de la section articles (son poste est l'équivalent de celui de directeur littéraire que j'occupe, à la différence qu'elle s'occupe des articles/essais/critiques au lieu des fictions)
- Ariane Gélinas, en plus de s'occuper du montage, s'occupe de la direction artistique (trouver et sélectionner les artistes pour les illustrations intérieures et de couverture)
- et Sabrina Raymond gère la publicité et la distribution.
Quant à votre deuxième question: oui, bien sûr! Nous ne serions pas une revue de la relève s'il n'y avait pas de retravail avec les auteur ;) (quoi que, si on regarde certaines revues...). La plupart du temps, quand nous acceptons un texte, c'est à la condition qu'un retravail soit fait. Bien entendu, nous sommes bien conscient d'être, nous aussi, des amateurs (au sens de non-pro), et que nos commentaires ne sont pas des vérités absolues. En fait, nous essayons d'établir un dialogue avec les auteurs: personnellement, quand je fais de la direction littéraire, j'essaie de montrer à l'auteur ce qui, selon moi, ne fonctionne pas dans son texte, et pourquoi. À partir de là, je vais parfois lui proposer des pistes de réflexion et de réécriture: libre à lui de les suivre ou non (il est souvent même plus intéressant de voir les solutions originales que certains auteurs trouvent pour corriger des problèmes).
Merci de ces précisions. Je vois que mon moyen de pression a fonctionné lol ;)
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