12/09/2009

C'est tout blanc

Et j'ai déjà trois pages pleines pour la suite de Les zombies dans nos campagnes. Et un plan concis mais complet. Pour cette nouvelle et les deux prochaines.

Mais avant de m'y lancer vraiment, je dois terminer la seconde version d'une nouvelle pour mon mémoire. (En fait, il s'agit d'ajouter une trame narrative supplémentaire; je ne touche pas à ce que j'ai déjà écrit, ce sera pour le retour des fêtes).

Seule ombre au tableau, je dois affronter la tempête dans environ une demie-heure pour me rendre à l'université. Galère, j'aurais bien aimé pantoufler, aujourd'hui...

Ajoutons, après un second coup d'oeil derrière le rideau, que la tempête ne semble pas si féroce, tout de même...

5 commentaires:

  1. C'est pas la tempête le problème : c'est les rues montréalaises et les conducteurs-banlieusards qui les peuplent. Les deux s'accordent pas bien.

    Heureusement, l'Uqam est accessible par le métro ;)

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  2. Journée de congé pour moi et je viens tout juste de rayer le magasinage de ma liste de choses à faire. Par chez moi (Mirabel), le vent s'époumonne et la neige s'en donne à coeur joie. Bien au chaud, j'aurai une petite pensée pour ceux qui, comme toi, n'ont pas ma chance aujourd'hui... ;)

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  3. Comment se fait-il que le vent me souffle toujours dans le visage, à l'aller comme au retour?

    Brrrr...

    N'empêche, je suis revenu, un chocolat chaud entre mes pattes gelées. Au travail d'écriture, maintenant.

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  4. Je serais bien restée à pantoufler avec toi cette journée-là aussi. S'enfermer bien au chaud: syndrôme de la cage blanche...

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