Le bonheur d'apprendre sur le tas
Au moment où j'écris ces lignes, les exemplaires du numéro 19 de Brins d'éternité sont probablement déjà imprimés. Ne reste plus qu'à les assembler et à les brocher, ce qui peut quand même prendre une heure ou deux. L'opération d'assemblage se déroulera fort probablement lundi soir et le brochage mardi. Donc, théoriquement, mercredi, tout devrait être prêt. Enfin!
Il faut dire que nous avons rencontré quelques difficultés pour l'impression de la couverture de ce numéro. Je ne savais pas, par exemple, que nous devions inclure des lignes de coupe sur le fichier de la couverture, pour que l'imprimeur sache où couper (pour nous éviter des bordures blanches), et que les prolongements desdites lignes de coupe doivent passer sur l'image, pour donner une marge de manoeuvre. Ce sont des erreurs que nous ne ferons plus, notamment pour sauver gagner du temps (j'ai passé presque une journée au complet à faire la navette entre l'imprimeur et chez moi).
N'empêche, j'ai vu l'épreuve du #19, et franchement, je crois que nos efforts seront vastement récompensés...
J'ai un doute soudain... suis-je toujours abonnée pour le prochain numéro? ... Moment de flottement indécis...
RépondreEffacerPeux-tu me confirmer la chose, s'il-te plaît? Si la réponse s'avère négative, je vais y remédier sans tarder. Ça va de soi!!!
Alors voyons... Ah ! Ton abonnement se termine avec le #19. Nous t'enverrons un avis de réabonnement avec ton exemplaire :)
RépondreEffacerFiou! Je suis rassurée! ^^
RépondreEffacercool! j'ai hâte d'avoir ça entre les mains!!!
RépondreEffacerVivement Boréal!
En bon Français, on dit gagner du temps, et non sauver du temps.
RépondreEffacerJe dis ça, pas parce que je suis puriste, mais vu comment ta directrice littéraire m'a cravaché pour que je vire toute trace d'anglicismes et d'idiotismes parisiens de ma nouvelle!
Romain Lucazeau
;oP
M : Yep ! Au fait, avis à tous, il y a une discussion fort intéressante sur la relève de la SFFQ en ce moment, sur le blog de Mathieu.
RépondreEffacerRomain : Salut ! En fait, Carmélie est notre correctrice (je suis le directeur littéraire ;)), et elle fait de l'excellent boulot.
Elle me reprend parfois, d'ailleurs. Mais il m'arrive de lui rendre la pareille (ça l'énerve :P)
Alors bon, profite bien de ta douce vengeance interposée !
Ouh le lapsus, pardon, j'ai dû vous confondre à cause des cheveux longs, pardon.
RépondreEffacerC'est ma faute, c'est ma faute c'est ma très grande faute, comme disait Prévert.
Le ciseau a été passé là-dedans, maintenant c'est plus court (enfin, plus court que sur cette photo) ;)
RépondreEffacerLa réviseure linguistique se défend, cependant : sa tâche touche Brins d'éternité, et non ce blog. ;)
RépondreEffacerDu reste, vive Romain Lucazeau, glorieux défenseur de la Loi 101 à Paris City of Light !
(Cravaché... J'aime ce mot ! Quand Bruno Laurent parlait de la réputation sadique des correctrices... ;))
Dans l'atelier d'Élisabeth, nous sommes moins sophistiqués: nous avons un fouet, mais non une cravache!
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