2/23/2009

Le plus gros du travail est fait

J'ai terminé le premier jet de ma nouvelle de zombies (qui fait, finalement, 26 pages). J'en suis à la moitié de ma première révision, où j'essaie de couper le plus possible (déjà amputé une demie-page). Ensuite je vais passer le texte dans Antidote, autant pour la correction que pour trouver les répétitions disgracieuses. Viendra ensuite une seconde relecture, avec une attention marquée sur la cohérence de l'intrigue. Ensuite, finalement, je ferai lire la nouvelle à quelques personnes pour en recevoir les commentaires.

Et après, je vais pouvoir me concentrer sur un autre projet dont je préfère ne pas trop parler pour l'instant. Disons simplement que je vais remettre à jour un texte sur lequel j'avais beaucoup travaillé mais dont je ne suis pas encore tout à fait satisfait.

C'est tout de même amusant, écrire, parfois.

2/19/2009

Où j'en suis

À me dire que oui, je vais bien finir par finir ma nouvelle de zombies, à la fin.

À tripper sur mon installation de Windows XP en machine virtuelle à partir d'Ubuntu (via Virtualbox). Geeeek.

À lire ce chef-d'oeuvre qu'est La Horde du Contrevent, d'Alain Damasio. Vraiment.

À jouer encore à DoomRL. Geeeeek.

Plus de détails sur chacun de ces points, éventuellement...

AJOUT : J'oubliais (c'est tout dire) : Tout ça, pendant que je devrais un peu plus lire mes piles de livres (oui, plusieurs piles) pour la maîtrise. Berg.

2/14/2009

Bonne St-Valentin à toutes

Notez le féminin; désolé, les gars.

2/11/2009

Ce qu'on s'entend dire, parfois...

― Non, Lynch, tu ne manges pas les Brins d'éternité! J'ai dit non!

2/08/2009

Du jeu au film d'animation

Resident Evil : Degeneration (non, la trame sonore n'est pas de Mes Aieux) et Deadspace : Downfall: deux films d'animation tirés de jeux vidéos.


Dans le cas de Resident Evil, la série est déjà longue et complexe sur console (avec le cinquième opus qui devrait paraître éventuellement sur une console que je ne possède pas), sans parler des quelques films parus au cours des dernières années, allant, en terme de qualité, du très moyen au très mauvais, en passant par l'oubliable et le très commun. Degenaration, par contre, suit l'histoire des jeux, pas des films. On pourrait donc s'attendre à une plus grande cohérence, à un respect de la canonicité de l'univers de la série.


Deadspace, par contre, est un nouveau venu dans le monde du jeu vidéo: il n'y a, à ma connaissance et pour le moment, qu'un seul de ce nom. L'histoire du film est en lien direct avec celle du jeu. En fait, le film se veut une très longue introduction à l'intrigue du jeu, le film se terminant exactement là où le jeu commence. L'intention étant probablement de faire une gigantesque publicité pour le jeu. Ou alors, ce qui est plus louable, de développer l'univers esquissé dans le jeu. On n'entre jamais tout à fait dans les détails, mais le portrait politico-religieux qu'on entrevoit est intéressant et prometteur.

On a donc un film qui tente de profiter de la vague (en déclin) de popularité d'une série qui prend de l'âge et un autre qui, au contraire, tente de créer une nouvelle vague. Mais qu'en est-il des films? Pour résumer, je dirais que si Deadspace Downfall ne réinvente ni le film d'horreur ni celui de science-fiction, il a le mérite d'être bien fait et d'amener des pistes d'intrigues qui pourraient être exploitées de façon tout à fait pertinentes. Et le concept des Necromorph, qui parasitent et restructurent les cadavres humains pour se reproduire, est présenté avec brio et de façon convaincante. Resident Evil : Degeneration, par contre, sans être totalement insipide, mise beaucoup trop sur la qualité graphique de sa production, qui est fort plaisante, mais qui ne parvient pas à cacher toutes les scènes clichés et gnagna qui grève le film. Les rebondissements abondent mais se ressemblent (apparemment, les simples zombies ne suffisent plus depuis longtemps dans cette franchise, il faut des monstres toujours plus forts, plus mutants, plus monstres, finalement) et les relations entre les personnages semblent plus que superficielle (oui, je pense à vous, Léon et cette fille avec-qui-il-passe-la-moitié-du-film mais dont je ne me souviens plus du nom).

Je prendrais bien un autre film de Deadspace, tout de suite, là là, mais bon, j'imagine que pour l'instant, si je veux savoir la suite de l'histoire, je devrai jouer le jeu. Cet été, peut-être?

2/05/2009

Reçu : Katapulpe #6 - Lettre


L'image vient du site de Katapulpe


Très beau graphisme (une réalisation d'Andréa-Nicolas Cloutier et de Véronique Lemieux), comme toujours, une qualité d'impression impressionnante (huhuhu, quel jeu de mots. Mais c'est vrai) et, en prime, quelques nouvelles de copains et copines: Karmélie Jakob (qu'on connait ici sous une autre lettre), Émilie CDEFG Lévesque (je me sens tannant, ce soir) et Benoit Bourdeau, qui signe aussi une nouvelle dans Brins d'éternité #22.

Le #22, d'ailleurs, devrait être prêt au début de la semaine prochaine: il est imprimé et assemblé, ne reste plus que la broche et la préparation d'enveloppes.

2/02/2009

Je suis (aussi) sur Tu verras, clavier

Vous l'aurez peut-être déjà remarqué, mais je suis l'invité du mois de février sur l'excellent blog de Dominic Bellavance. Vous pourrez y lire quelques unes de mes déblatérations sur l'écriture, mon expérience de l'édition et le monde universitaire de la création littéraire.

Je poste mon premier billet dès demain.

Une série à suivre, donc.