8/24/2009

La fi-

Comme les lecteurs du blog de Richard Tremblay (qui fait parfois des critiques positives et élogieuses (1,2) de certaines de mes nouvelles) le savent déjà, la fin de ma nouvelle Les zombies dans nos campagnes, parue dans le dernier numéro de Clair/obscur, a été amputée de deux phrases. Ça ne change pas la chute de la nouvelle (il n'y en a pas), mais ça modifie tout de même la clôture du texte. Voici donc lesdites dernières phrases :

"Cette nuit, il en avait la certitude, ne se terminerait jamais. Il ferma les yeux."

Pas grand chose, mais quand même...

2 commentaires:

  1. Je suis désolé Guillaume! Tu aurais dû me mettre au courant... j'aurais pu faire les modifications dans les autres exemplaires...

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  2. Pas de problème, je m'en suis rendu compte assez tôt, mais j'avoue que ça m'était sorti de la tête, jusqu'à ce que Richard en parle sur son blog, de cette nouvelle. Pas de problème :)

    C'est très traître, parfois, ce genre d'image qu'on plaque tout près d'un texte, dans le logiciel de montage...

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